Avec ce deuxième long format, le britannique explore un espace où écoute privée et musique de club se rejoignent. Cet album est en grande partie inspiré par sa vie transitoire passée entre les clubs, avions, voitures et chambres d'hôtel qui a forgé sa réputation de DJ techno influent de cette décennie. Fort d'une énergie inédite son univers s'est élargi. William Basinki, Brian Eno et Alessandro Cortini de Nine Inch Nails sont autant d'influences qui parcourent Song for alpha. La signature psychédélique électronique d'Avery atteint de nouvelles dimensions, un son autant pour la tête que pour le corps.
Télérama nº 3563 p.57 du 26/04/2018, noté 4/4
Trax nº 210 p.83 du 06/04/2018
Inrockuptibles nº 1169 p.60 du 26/04/2018
Magic nº 208 p.18 du 19/04/2018