Saint-Aimé Sélène
 Mare undarum
  Notes sur l'album :

Enregistré au Studio Pigalle à Paris, à l'invitation du jeune label Komos, le premier album de Sélène Saint-Aimé, fascine par sa richesse, sa poésie et son originalité : il y a cette incroyable souplesse vocale, ce jeu de contrebasse en liberté mais aussi ces arrangements pour saxophone, trompette, percussions, violon et violoncelle. Un mélange entre la chaleur des cuivres, le bois des cordes et le rythme du tambour ka, qui laisse affleurer des influences caribéennes et africaines. Ce goût pour une musique inventive et riche, Sélène le doit notamment au saxophoniste américain Steve Coleman, qu'elle rencontre à la faveur d'une résidence à Montreuil en 2016 et retrouve à New York quelques temps plus tard. Là, elle fréquente les clubs de jazz les plus prestigieux, croise le chemin de Ron Carter ou Ravi Coltrane ; elle écoute, observe, apprend. Pour aujourd'hui tracer le début d'un chemin personnel, qui l'emmènera très loin.

 Article(s) de presse dans :

Jazz Magazine nº 730 p.70 du 09/09/2020