L'album a pour fil rouge la transmission du lien culturel entre les générations. Veronika se souvient des chansons russes et oudmourtes que Lilouchka, sa maman, lui fredonnait et qu'elle-même a chanté à sa fille, Mya. Berceuses à la mélancolie légère qui sont aussi une douce rêverie sur les paysage de l'Oudmourtie avec ses fleuves immenses et ses forêts interminables... Ne pouvait manquer à cet album, la nostalgie sinueuse de Kolybeinaia Pesnia, berceuse composée par Tchaikovsky, né, lui aussi, en l'Oudmourtie.