Notes sur l'album :
Avec 20 ans de bouteille, les litres d'ivresse et d'innocence ont ici fait place à une savante alchimie. La richesse des arrangements n'en a que plus de saveur. Le merveilleux oud de Vincent Serrano ensorcèle, les samples électro dynamitent les compositions, la guitare de Napo Romero rock l'ensemble, l'inébranlable Jojo swingue ses lames, les cuivres et les bois soufflent dans la finesse, c'est un vrai travail de groupe, cohérent, d'une redoutable efficacité.
Article(s) de presse dans :
Longueur d'Ondes nº 85 p.45 du 26/04/2018
FrancoFans nº 69 p.64 du 04/04/2018
Hexagone nº 7 p.61 du 27/03/2018