Notes sur l'album :
Paul Lay est un Marvel du piano. Un super héros des 88 touches, les pliant sous ses doigts à sa volonté. Il fait apparaître dans l'oeuvre de Beethoven le mélodiste éblouissant qui ne demande qu'à être repris, dérivé, réinventé avec le temps qui passe sans rien lui retirer de sa modernité.
Article(s) de presse dans :
Télérama nº 3736 p.49 du 19/08/2021, noté 4/4
Jazz Magazine nº 739 p.49 du 09/07/2021, noté 1/1
FIP : Album jazz de la semaine de Octobre 2021