Notes sur l'album :
Un saxophone miraculeusement habité ; un piano fabuleusement décliné ; un percussionniste en chorégraphe sensualiste et, pour cet opus, un bassiste brûlant ; l'équipe de Papier Ciseau part dans une quête musicale essentialiste. A travers ses compositions, Roberto Negro nous invite aux mémoires de l'enfance et à l'aventure de l'apprentissage. Sur un chemin insolite et parfois déroutant, où perception et découpe du temps paraissent par moments incontrôlés, la musique nous transporte dans un univers décliné par des mélodies tantôt ludiques, tantôt naïves et parfois franchement étourdissantes et électriques.
Article(s) de presse dans :
Télérama nº 6397 p.50 du 18/11/2020, noté 4/4
Jazz Magazine nº 733 p.94 du 06/01/2021