Notes sur l'album :
Une rencontre en dehors de tout contexte préétabli entre la voix d'Alim Qasimov, chanteur traditionnel azerbaïdjanais et le serpent français Michel Godard, également tubiste, bassiste et compositeur. Le chant d'Alim est comme un "parler à Dieu" et le serpent est depuis le XVIe siècle l'instrument sacré à l'unisson des voix, rendant possible la connexion entre terre et ciel dans les églises françaises. Quand l'âme est grande ouverte, la musique devient vraiment utile et peut nous amener à notre immense univers intérieur tout en nous transportant vers l'univers extérieur. C'est alors une musique d'espoir pour le futur : la juxtaposition de deux cultures serait-elle la nouvelle avant-garde ?
Article(s) de presse dans :
Télérama nº 3610 p.60 du 20/03/2019, noté 4/4