Animé par une indolente soif de voyages, cet album raconte l'expérience des métropoles américaines - et plus encore - en puisant dans le vécu du songwriter. Il fait suite à Singing saw, sorti en 2016, création autobiographique laissant transparaître la solitude et les paysages dans lesquels il a été enregistré. Et là arrive City music, le yang du yin, à la fois opposé et complémentaire à son prédécesseur. Comme si Morby avait utilisé l'autre partie de son cerveau. Il explore des thèmes similaires à la solitude mais cette fois, à travers la fenêtre d'un appartement huppé appartenant à un paysage urbain exposé comme une géante blessure à vif.
Rock & Folk nº 599 p.71 du 20/06/2017, noté 4/5
Inrockuptibles nº 1125 p.75 du 21/06/2017
Magic nº 204 p.42 du 05/07/2017
New Noise nº 39 p.89 du 14/06/2017, noté 7/10