Notes sur l'album :
Nous retrouvons ici le pianiste parcourir de nouveaux territoires sur son clavier, armé de tambours Iraniens, d'un violoncelliste Turc, d'une chanteuse Syrienne, d'un duduk Arménien, de rythmes "Alaturka", et repoussant les frontières mentales pour dessiner les contours d'un paradis perdu, entre Vienne et Samarkhande, à la recherche d'éclats de spleen, pour retrouver, le temps d'un album, l'âme de ses ancêtres.
Article(s) de presse dans :
Jazz Magazine nº 702 p.62 du 01/02/2018, noté 1/1