Notes sur l'album :

Une virtuosité de l'effroi : comme ses contemporains écrivains, peintres et musiciens, Liszt fasciné par le macabre dépeint les terrifiantes visions de l'horreur et de l'Enfer en dépassant l'utilisation traditionnelle du piano. Dans la Danse des morts, Pensée des morts, Funérailles et Mephisto-Walzer, sa virtuosité démoniaque est au service d'un imaginaire romantique gothique et fantastique. Convoquant le Dies irae et les fresques médiévales où l'on entend les squelettes danser et la mort faucher les têtes, il n'oublie pourtant jamais d'évoquer l'espérance de la foi chrétienne.

 Article(s) de presse dans :

Diapason nº 662 p.98 du 27/11/2017, noté 5/6
Classica nº 197 p.70 du 31/10/2017, noté 5/5