Dans son troisième album, le chanteur parle de sa proximité perdue à sa terre. Il raconte la nostalgie qui le rattache à ses racines et l'oubli qui le pousse à la pérégrination. Mêlant piano, clavecin, percussions, batterie, synthétiseurs, mélodica et nay, cet opus joue la réconciliation entre les différents parcours musicaux de Bachar Mar-Khalifé (entre la percussion et le piano), et consacre le chant en arabe comme instrument central de son expression. Plus que jamais, sa liberté triomphe de toute contrainte stylistique.
Télérama nº 3431 p.63 du 14/10/2015, noté 4/4
Trax nº 186 p.90 du 01/10/2015
Inrockuptibles nº 1045 p.86 du 10/12/2015, noté 4/5
Magic nº 196 p.82 du 01/10/2015, noté 4/6
Tsugi nº 86 p.39 du 08/10/2015
Sélection FIP de octobre 2015